Souillac est situé au confluent de la Dordogne et de la Borrèze. Dans ce petite ville on trouve le Musée National de l’Automate et des vieilles ruelles chargées d’histoire, à parcourir à pied ou en petit train touristique. Au bord de la rivière Dordogne se trouve le parc de loisirs aquatique, Quercyland. Chaque août le festival de jazz 'Sim Copans' se tient dans la ville.
Le plus célèbre batiment de Souillac est l'Abbatiale Sainte Marie au centre ville, eglise romane à file de coupoles, du XIIème siècle. Le batiment est célèbre pour ses sculptures du prophète Isaïe, du Trumeau avec le Sacrifice d'Abraham et de la Légende du Moine Théophile.
A partir du XIIème siècle et jusqu’à la Révolution, la ville du Moyen-Age grandit sous l’autorité seigneuriale de l'abbaye bénédictine.
Au XIXème siècle, grâce à la Dordogne, elle tire sa richesse du commerce fluvial du sel et du bois de merrain. Les négociants s’enrichissent alors et la ville s’étend hors les murs.
En 1889, l’arrivée du chemin de fer porte un coup sévère à ce commerce. La ville se tourne alors vers le tourisme, mettant à profit sa situation géographique, à proximité des grands sites touristiques environnants comme Rocamadour, Padirac, Sarlat et Montignac
Au XIIIe siècle, Souillac grandit autour d'une abbaye dépendant du monastère bénédictin d'Aurillac dans le Cantal. Quand les Bénédictins s'installent dans la plaine de Souillès, ainsi nommée d'un mot local "souilh", signifiant "lieu boueux et marécageux où se vautraient les sangliers", ils remplacent une communauté fondée à cet endroit par Saint Eloi. Les moines assèchent sans relâche et transforment le marécage en un riche domaine. Plusieurs fois ruinée et saccagée par les Anglais au cours de la guerre de Cent Ans, Souillac se relève grâce à la ténacité des abbés, mais les guerres de religion lui causent encore de plus grands désastres : en 1562, des bandes protestantes pillent le monastère. Dix ans plus tard, les bâtiments conventuels sont la proie des flammes et seule l'église abbatiale, bien protégée par ses coupoles, échappe à l'incendie.
Souillac possède sept viaducs sur la ligne Brive-Montauban. Voir : Les viaducs de Souillac.
Commerces :
Le plus célèbre batiment de Souillac est l'Abbatiale Sainte Marie au centre ville, eglise romane à file de coupoles, du XIIème siècle. Le batiment est célèbre pour ses sculptures du prophète Isaïe, du Trumeau avec le Sacrifice d'Abraham et de la Légende du Moine Théophile.
A partir du XIIème siècle et jusqu’à la Révolution, la ville du Moyen-Age grandit sous l’autorité seigneuriale de l'abbaye bénédictine.
Au XIXème siècle, grâce à la Dordogne, elle tire sa richesse du commerce fluvial du sel et du bois de merrain. Les négociants s’enrichissent alors et la ville s’étend hors les murs.
En 1889, l’arrivée du chemin de fer porte un coup sévère à ce commerce. La ville se tourne alors vers le tourisme, mettant à profit sa situation géographique, à proximité des grands sites touristiques environnants comme Rocamadour, Padirac, Sarlat et Montignac
Au XIIIe siècle, Souillac grandit autour d'une abbaye dépendant du monastère bénédictin d'Aurillac dans le Cantal. Quand les Bénédictins s'installent dans la plaine de Souillès, ainsi nommée d'un mot local "souilh", signifiant "lieu boueux et marécageux où se vautraient les sangliers", ils remplacent une communauté fondée à cet endroit par Saint Eloi. Les moines assèchent sans relâche et transforment le marécage en un riche domaine. Plusieurs fois ruinée et saccagée par les Anglais au cours de la guerre de Cent Ans, Souillac se relève grâce à la ténacité des abbés, mais les guerres de religion lui causent encore de plus grands désastres : en 1562, des bandes protestantes pillent le monastère. Dix ans plus tard, les bâtiments conventuels sont la proie des flammes et seule l'église abbatiale, bien protégée par ses coupoles, échappe à l'incendie.
Souillac possède sept viaducs sur la ligne Brive-Montauban. Voir : Les viaducs de Souillac.
Commerces :
- E Leclerc, Supermarche Casino, Lidl, superette
- Fleuristes, boulangeries, boucherie - charcuterie, bijouteries, pressing
